Spectométrie d'absorption atomique - Westfalen BV-SRL

Spectrométrie d'absorption atomique

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Spectométrie d'absorption atomique

Trois méthodes de spectrométrie d’absorption atomique

Trois techniques rentrent dans le cadre de la SAA : la spectrométrie d’absorption atomique à flamme (SAAF), à four graphite (SAAFG) et par génération d’hydrures (SAAGH).

La SAAF est la méthode le plus souvent appliquée. Elle fait appel à de l’acétylène comme combustible. Les concentrations de phosphine et de sulfure doivent être basses dans l’acétylène afin d’obtenir une flamme propre et de limiter les interférences. C’est le gage d’une précision optimale de l’analyse. La SAA à la flamme est une méthode rapide et peu coûteuse, ce qui est un gros avantage.

La SAA à four graphite est une alternative à la SAA à la flamme, la flamme étant remplacée par un four qui fait monter la température. Le grand avantage de la SAAFG réside dans ses très basses limites de détection. L’absence de turbulences dues à la flamme livre un signal plus calme.

La SAA par génération d’hydrures est une méthode assez neuve qui permet de mesurer l’arsenic, l’antimoine et le sélénium, y compris leurs formes organiques. On peut appliquer la SAAGH aux eaux souterraines, aux liquides de destruction et aux éluats. L’argon ou l’azote sont souvent mis en œuvre dans cette méthode.
 

Applications de la spectrométrie d’absorption atomique

Comment fonctionne la spectrométrie d’absorption atomique ?

La spectrométrie est un nom générique désignant des techniques capables de déterminer la composition d’un échantillon. La SAA est un procédé d’analyse qui quantifie les atomes de métaux. Elle repose sur l’absorption du rayonnement électromagnétique par les atomes. On décompose d’abord un échantillon en particules le plus petites possible en l’exposant à une flamme dans laquelle une lampe projette ensuite un rayon de lumière. Puis, cette lumière est absorbée par les atomes présents dans la flamme. Le degré d’absorption de la lumière dépend de la concentration d’atomes dans la flamme et dans l’échantillon. La chaleur de la flamme est déterminée par des mélanges gazeux combinant de l’acétylène, du propane ou de l’hydrogène avec de l’air synthétique.
 

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