Gaz spéciaux - Westfalen BV-SRL

Gaz spéciaux de haute qualité

Découvrez notre large gamme de gaz spéciaux pour diverses applications.

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Gaz spéciaux

Le Centre de Westfalen dédié aux gaz spéciaux est placé sous le signe de la précision la plus grande. Tout le processus de production des gaz spéciaux y est soumis à de rigoureux critères de qualité et est intégré à notre système de management de la qualité certifié conforme à la norme ISO 9001. Par ailleurs, le centre lui-même a été accrédité par l’organisme accréditeur allemand DAkkS en tant que laboratoire d’essais et d’étalonnages conforme aux normes DIN et ISO 17025.

Laboratoire accrédité d’essais et d’étalonnages
Le Centre des Gaz spéciaux de Westfalen détient l’accréditation à titre de laboratoire d’essais délivrée par le DAP (système allemand d’accréditation en matière d’essais). Le DKD (Service allemand d’étalonnage) l’a également accrédité comme laboratoire d’étalonnage.

Depuis 2010, ainsi que le règlement européen 765/2008 l’impose, il n’y a plus qu’un seul organisme accréditeur désigné à l’échelon national. En Allemagne, il s’agit du DAkkS et, aux Pays-Bas, du VSL. Leur équivalent belge est BELAC.

Il s’ensuit que le Centre des Gaz spéciaux de Westfalen a acquis une compétence élevée tant sur la scène nationale qu’à l’international (DIN et ISO/CEI 17025:2005).
 

Gaz naturel/gaz H/gaz B

Depuis la découverte de grands gisements gaziers, entre autres, à Slochteren, l’utilisation du gaz naturel est devenue monnaie courante en Belgique. Le charbon et le pétrole ont été bannis et on mise massivement sur ces sources de gaz naturel si proches de chez nous. 
 

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Mélanges d’étalonnage

Pour qu’un appareil de mesure puisse fonctionner efficacement et livrer des résultats fiables, il est important de le faire étalonner. Il doit être réglé avec un maximum de précision afin qu’il soit possible de signaler les situations à risque.

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Isotopes et mélanges d’isotopes

Les isotopes sont des nucléides d’un même élément qui se distinguent les uns des autres par le nombre différent de neutrons que comporte le noyau de leur atome. 

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Alumini®, le récipient de petit format 

Dans diverses applications, il est souhaitable ou nécessaire d’avoir une petite bouteille de gaz. Le recours à un récipient de taille réduite peut se justifier pour de multiples raisons. 

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Divox® : pour plongeurs professionnels ou sportifs
Les plongeurs utilisent des gaz afin de maximiser le rendement de leurs activités. L’air comprimé, l’oxygène et l’hélium sont des composants essentiels des gaz respirables.

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Gaz de laboratoire

Le gaz de laboratoire est l’un des gaz que nous livrons le plus souvent, en l’occurrence à des laboratoires où l’on réalise des études ou des analyses.

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Gaz krypton

Le krypton est un gaz rare dont on ne se sert pas souvent. Mais pourquoi en est-il ainsi et que peut-on faire avec?

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Gaz néon

Le néon est un gaz abondamment utilisé dans les publicités lumineuses et les indicateurs à haute tension. Mais en quoi consiste-t-il précisément et que peut-on en faire ?

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Gaz xénon

Le xénon ne se rencontre pas souvent dans notre atmosphère, mais il est mis en œuvre dans diverses applications dont il est un composant essentiel.
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Hexafluorure de soufre

L’hexafluorure de soufre est un gaz inorganique beaucoup utilisé en électrotechnique. Mais il est aussi connu pour ses effets opposés à ceux de l’hélium et sous le nom de gaz SF6.
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Spectrométrie d’absorption atomique

La spectrométrie d’absorption atomique (SAA) est une technique qui permet de quantifier les atomes de métaux, et ce à l’aide d’une flamme, d’un four graphite ou d’un système de génération d’hydrures.
 

Comment fonctionne la spectrométrie d’absorption atomique ?

La spectrométrie est un nom générique désignant des techniques capables de déterminer la composition d’un échantillon. La SAA est un procédé d’analyse qui quantifie les atomes de métaux. Il repose sur l’absorption du rayonnement électromagnétique par les atomes. On décompose d’abord un échantillon en particules les plus petites possible en l’exposant à une flamme dans laquelle une lampe projette ensuite un rayon de lumière. Puis, cette lumière est absorbée par les atomes présents dans la flamme. Le degré d’absorption de la lumière dépend de la concentration d’atomes dans la flamme et dans l’échantillon. La chaleur de la flamme est déterminée par des mélanges gazeux combinant de l’acétylène, du propane ou de l’hydrogène avec de l’air synthétique.
 

Trois méthodes de spectrométrie d’absorption atomique
Trois techniques rentrent dans le cadre de la SAA : la spectrométrie d’absorption atomique à flamme (SAAF), à four graphite (SAAFG) et par génération d’hydrures (SAAGH).

La SAAF est la méthode la plus souvent appliquée. Elle fait appel à de l’acétylène comme combustible. Les concentrations de phosphine et de sulfure doivent être basses dans l’acétylène afin d’obtenir une flamme propre et de limiter les interférences. C’est le gage d’une précision optimale de l’analyse. La SAA à la flamme est une méthode rapide et peu coûteuse, ce qui est un gros avantage.

La SAA à four graphite est une alternative à la SAA à la flamme, la flamme étant remplacée par un four qui fait monter la température. Le grand avantage de la SAAFG réside dans ses très basses limites de détection. L’absence de turbulences dues à la flamme livre un signal plus calme.

La SAA par génération d’hydrures est une méthode assez neuve qui permet de mesurer l’arsenic, l’antimoine et le sélénium, y compris leurs formes organiques. On peut appliquer la SAAGH aux eaux souterraines, aux liquides de destruction et aux éluats. L’argon et l’azote sont souvent mis en œuvre dans cette méthode.
 

Mélangeur de gaz

On emploie les mélangeurs de gaz pour créer des gaz mixtes présentant le bon rapport de mélange. Un mélangeur de Westfalen sera très avantageux pour les gros consommateurs.
 

Caractéristiques d’un mélangeur de gaz

Économiser des coûts avec un gaz mixte
Si vous utilisez beaucoup de gaz, un mélangeur peut être un moyen judicieux de faire des économies. Les gaz prémélangés vous coûtent souvent plus cher que si vous préparez le mélange vous-même. Le gaz mixte est tout aussi efficace et tout aussi précis. Westfalen possède dans sa gamme des mélangeurs de Witt et Dansensor et vous permet de maîtriser vos frais et votre consommation de gaz. Nous proposons même les différents gaz en vrac et nous les mélangeons sur site pour vous. Nous réfléchissons ainsi avec vous à la solution la plus avantageuse pour vous.
 

Application des mélanges de gaz
Le mélangeur est conçu pour maximiser le confort d’usage et garantit que votre processus de conditionnement sera automatiquement alimenté avec le mélange spécifié. Les gaz à mélanger sont variés, les plus courants étant l’azote, l’acide carbonique, l’argon et l’oxygène. Les mélangeurs de gaz s’utilisent tant dans des applications industrielles que dans l’agro-alimentaire, secteur où l’on s’en sert pour le conditionnement MAP. Les gaz MAP de Westfalen sont vendus sous le nom de Protadur®. Tous ces gaz sont certifiés HACCP.
 

 

 

 

Service de Westfalen
Nous prestons un service à très longue portée. Vous choisissez un réservoir cryogénique pour stocker vos gaz ? Nous le surveillons par télémétrie. Nous gardons ainsi un œil sur votre stock et nous le complétons automatiquement dès que nécessaire. Si votre réservoir présente des anomalies telles qu’une perte de pression aiguë, nos opérateurs sont avertis et vous épargnent tout problème d’entretien. Combinée aux différents mélangeurs, cette solution est excellente et son coût d’utilisation est bas.
Fournisseur certifié ISO 22.000, Westfalen vous donne au travers de son service technique la faculté de louer ou d’acheter une installation complète. Vous n’avez plus à vous soucier de votre installation au gaz. Des questions sur notre service ? Prenez contact avec nous.
 

Chromatographie en phase gazeuse

La chromatographie en phase gazeuse (CPG) s’emploie pour séparer des mélanges de gaz. Mais comment cela marche-t-il au fait ?
 

La technique de la chromatographie en phase gazeuse
La CPG est un procédé qui aide à séparer des mélanges gazeux. C’est l’une des formes de la chromatographie. On l’emploie pour décomposer des mélanges de substances très volatiles. Les hydrocarbures à faible masse molaire en sont de bons exemples. Il est cependant déconseillé d’appliquer cette méthode à des échantillons possédant un point d’ébullition élevé. Un chromatographe en phase gazeuse se compose d’une chambre d’injection, d’une colonne, d’un détecteur et, éventuellement, d’un passeur automatique d’échantillons.
 

L’injection de CPG
Elle s’effectue le plus souvent au moyen d’un injecteur dit split ou splitless selon qu’il fonctionne avec (mode split) ou sans division de flux (mode splitless). L’échantillon est injecté dans la phase mobile à travers un septum (diaphragme) et subit une vaporisation rapide par chauffage dans la chambre d’injection. Une partie de l’échantillon s’écoule sous forme de nuage avec la phase mobile tandis que l’autre partie est évacuée.

Ensuite, le nuage parvient dans une colonne dans laquelle ses composants vont se diviser en une phase stationnaire et en une phase mobile. Il règne dans la colonne une certaine température sous l’effet de laquelle les composants vont sortir. Mais tous ne quitteront pas la colonne à la même température, car cela dépend de leurs points d’ébullition respectifs.
Le détecteur analyse la phase mobile qui sort de la colonne. Un signal est émis lorsqu’un composant est détecté. Le détecteur idéal possède une sensibilité élevée aux divers constituants du mélange gazeux.

Il est par ailleurs possible d’utiliser un passeur automatique d’échantillons. Ce robot injecte le mélange dans les appareils de CPG, mais cette opération peut aussi se faire en manuel.
 

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